A une heure de Paris, Montargis surnommée la « Venise du Gâtinais », avec ses 131 ponts et passerelles, se compose de petits îlots, de canaux et de rues sur l’eau. Haut-lieu de la gastronomie, ville de traditions, Montargis pratique au quotidien un art de vivre et un savoir-faire ancestral.
Dans la Vallée des Rois, entre Beauce et Sologne, cette ville millénaire, inscrite parmi les plus beaux détours de France, a gardé le charme d’une cité médiévale prestigieuse. De ce prestige subsistent le donjon du XIème siècle dit « Tour César » et son pont légendaire ainsi que le Château Dunois.
Il fait partie de ces petits châteaux méconnus dont la Sologne regorge et qui pourtant valent tous les détours. Bâti au bord du Cosson dans un grand parc à l’anglaise, le château du Lude affiche un indéniable charme du haut de son élégance rouge brique des XVe et XVIe siècles.
Belle et riche collection d’objets d’art religieux, constituée par l’Abbé Roland Barillet. Petits objets de dévotion, admirables statues anciennes ainsi que de remarquables peintures sur bois…
Un épais rideau végétal garantit à ce joli jardin intimité et romantisme. Situé aux portes de la Sologne, à 20 km au sud d’Orléans, on y découvre une importante collection de roses et de viburnums. De quoi offrir fleurs, fruits et parfums au fil des quatre saisons.
Au coeur du village, ce parc d’un hectare vous propose autour du jardin vivrier, un jardin d’agrément et 4 jardins contemporains.
Le fond du parc accueille une collection d’aucuba en cours de labellisation.
Sur 60 ha aux portes de la Sologne, à Ardon, les « Dolines de Limère » s’explorent au gré de quatre boucles, pour découvrir les dolines, curiosités géologiques du site.
Premier parc départemental ouvert au public depuis 1998. Espace aménagé de 57 hectares.
Situé à 5 km de Cerdon, ce plan d’eau de 180 hectares a été creusé en 1864 pour servir de réservoir au canal de la Sauldre. Il prend sa source dans un site boisé ouvert à la promenade et aux loisirs nautiques.
Ce parc est en 2 partie : la partie nord est une zone humide traversée par une multitudes de petites rivières (les Mauves) et la partie Sud avec milieux plus ouverts.
Cette prairie de fond de vallée, nichée entre deux rivières, accueille de rares espèces végétales telle l’ophioglosse. L’aménagement s’y veut donc discret, avec un cheminement naturel et des points d’observation afin d’éviter l’impact sur le milieu.
Le site naturel préservé des Îles de Bonny désignent les terres comprises entre la Loire et la Cheuille, dans le lit majeur de la Loire. Elles abritent de vastes prairies naturelles ceinturées d’une mosaïque d’habitats typiquement ligériens depuis les grèves sableuses jusqu’à la forêt alluviale.
Ce site naturel préservé par le Conservatoire d’espaces naturels Centre-Val de Loire offre une succession de couleurs, d’odeurs, de formes, de bruits et d’ambiances, depuis les prairies en passant par les boisements et la friche aux allures sauvages, jusqu’aux grèves de Loire…
Préservé pour 80 hectares par le Conservatoire d’espaces naturels Centre-Val de Loire depuis 2006, le site naturel de Benne qui s’étire sur 3,7 km de long pour environ 150m de large, accueille tous les milieux naturels ligériens dont un ensemble de pelouses sèches sur sable bien conservé.
Située dans le parc du château de Saint-Jean-le-Blanc, la roseraie a été créée au printemps 2012. Ce jardin de 1200 m² a été dessiné et réalisé par le service des espaces verts de la ville de Saint-Jean-e-Blanc avec l’aide de la Société d’Horticulture d’Orléans et du Loiret.
Située au centre de l’ancienne place forte, l’église Saint-Etienne possède une nef romane, transept et choeur gothique ainsi qu’un rare un retable baroque.
Elle est meublée avec des bancs fermés berrichon du XVIIIe siècle, des tableaux des XVIIe et XVIIIe siècles, un banc d’oeuvre et une chaire.
Découvrez les charmes discrets de la cité de Ferrières ; siège d’une ancienne abbaye bénédictine royale. Fondée à l’époque mérovingienne, elle fût le foyer intellectuel international à l’époque carolingienne grâce à Charlemagne, Louis le Pieux et Charles le Chauve.
Depuis le VIe siècle, 7 églises se sont succedées sur la colline. Démolie par les protestants en 1557, elle fut d’abord reconstruite en 1627 grâce à l’aide du Cardinal de Richelieu (alors Abbé de St Benoît). Elle sera reconstruite presque en totalité au XIXe ainsi que la crypte St Posen.
Jardin de collection d’arbres et arbustes en milieu forestier (aulnaie). Collection de Cercis, Metasequoia, Acer, Cryptomeria et plantes acidophiles.
Centre d’interprétation consacré à la distillation, créé dans l’ancienne distillerie coopérative ayant fonctionné à cet endroit de 1920 à 1980.
On peut y voir des alambics, des vases, la chaudière de distillation, également des panneaux explicatifs.
